J’espère que les lecteurs de Révolution Vibratoire comprennent bien désormais que nous vivons tous dans une matrice de mensonges et d’illusion. Cependant, tout spirituels que nous sommes, nous continuons encore et encore à nous quereller. Le petit rat que nous sommes, a un mal fou à s’extraire de cette fichue matrice… Pour tenter d’offrir une explication à cette étrange situation, je voudrais soumettre à votre perspicacité les conclusions des expériences du Professeur Laborit, célèbre neurobiologiste français du siècle dernier, et voir comment elles s’appliquent à notre condition dans la matrice terrestre, avec une conclusion sans doute pour vous inattendue !
On doit à Henri Laborit, la compréhension profonde des mécanismes humains du stress et de l’anxiété. Avant les travaux du Dr Laborit, l’expression physique de problèmes psychologiques n’était abordée que sous l’angle de la psychologie et de la psychanalyse, et non pas en médecine. Le lien entre les deux manifestations, l’une physique et l’autre psychique, n’était d’ailleurs pas aisément explicable.
L’un des travaux les plus emblématiques sur le sujet est celui que le Pr Laborit rapporte dans son livre « L’éloge de la fuite« , paru en 1985 et aujourd’hui toujours vendu chaque année à plusieurs milliers d’exemplaires. Il s’agit d’une expérimentation faite avec des rats et qui s’est déroulée en 4 étapes :
Première expérience : un rat est placé dans une cage à plancher grillagé et séparée en deux compartiments par une cloison dans laquelle se trouve une porte. Un signal sonore et un flash lumineux sont enclenchés et après quelques secondes un courant électrique est envoyé dans le plancher grillagé. La porte est ouverte. Le rat comprend vite le lien entre les signaux sonores et lumineux et la décharge électrique qu’il reçoit. Rapidement, il évite l’électricité en passant dans le deuxième compartiment lorsqu’il entend le signal sonore ou voit le signal lumineux. Une fois dans le deuxième compartiment, les signaux sonores et lumineux sont à nouveau envoyés et c’est le deuxième plancher qui est électrifié. Le rat parcourt donc le chemin inverse et le jeu de bascule recommence. Ce va-et-vient se prolonge durant dix minutes par jour, pendant huit jours consécutifs. À l’auscultation, l’état biologique du rat est excellent.
Deuxième expérience : cette fois deux rats sont placés dans la cage mais la porte de communication est fermée. Ils vont subir le choc électrique sans pouvoir s’enfuir. Rapidement ils se battent, se mordent et se griffent. Après une expérimentation d’une durée de huit jours, ils sont auscultés et leur état biologique, à part les morsures et les griffures, est excellent.
Troisième expérience : un rat est placé seul dans la cage avec la porte de communication fermée. Le protocole est identique aux précédentes expérimentations. Au huitième jour, les examens biologiques révèlent une chute de poids importante, une hypertension artérielle qui persiste plusieurs semaines, de multiples lésions ulcéreuses sur l’estomac. Constatation : l’animal qui peut réagir par la fuite (expérience 1) ou par la lutte (expérience 2) ne développe pas de troubles organiques. L’animal qui ne peut ni fuir ni lutter (expérience 3) se trouve en inhibition de son action et présente des perturbations pathologiques.
Quatrième expérience : l’expérience numéro 3 est à nouveau proposée à un rat avec le même protocole, mais chaque jour l’animal isolé est soumis, immédiatement après les 10 minutes d’inhibition dans la cage fermée, à un électrochoc convulsivant avec coma. Au bout des huit jours, et malgré l’intensité agressive de l’électrochoc, l’état de santé du rat est excellent. Dans cette dernière expérience il est démontré que l’électrochoc interdit le passage de la mémoire immédiate, à court terme, à la mémoire à long terme. L’oubli forcé est ici, pour le rat, un moyen efficace de sauvegarde face à une situation inhibitrice qui se répète. C’est ce qui se produit chez l’homme lorsqu’il perd connaissance face à une situation très stressante.
Enseignements par rapport à la Matrice
Soulignons tout d’abord que bien évidemment nous ne cautionnons absolument pas les expériences sur les animaux, qu’ils soient rats ou tout autre forme de vie ! Quoi qu’il en soit les expérience sont faites et sachons les comprendre avec notre conscience d’âme incarnée dans la matrice. Le rat dans sa cage pourrait bien être la métaphore de notre âme dans la matrice, le jeu n’est pas aisé, les attaques fréquentes, nous sommes dans une petite prison laboratoire qui siphonne nos énergies et nos vies, malgré un état de santé à peu près correct.
La deuxième expérience nous fait comprendre que l’état de constante souffrance auquel nous sommes soumis (guerres, épidémies, crises, oppression, domination, attaques par la pollution de l’eau, des aliments, les obligations vaccinales, les ondes électro-magnétiques, les tortures physiques de toutes natures, la nécessité de survie dans un monde ou la compétition règne) trouve un exutoire dans le combat permanent avec nos congénères.
La troisième expérience révèle, que dans l’incapacité de quitter notre matrice, et dans l’impossibilité ou la non volonté de se battre ou de se soumettre au jeu de la guerre et de la compétition permanente, le rat que nous sommes, va somatiser et souffrir de maladies, pourquoi pas auto-immunes où les cellules se retournent contre elles-mêmes ne pouvant trouver un adversaire extérieur.
La quatrième expérience quand-à elle nous projette dans une perspective de réincarnations répétées et obligées dans la prison matricielle terrestre. Chaque vie, chaque incarnation porte son lot de souffrances, de traumatismes… Heureusement, le voile d’Isis sur nos mémoires, tel un électrochoc subi avant la naissance nous dissocie de ces personnalités et de ces vies passées, pour nous aider à mieux supporter la répétition de cette condition d’esclave traumatisé.
Je vous laisse tirer vos propres conclusions de ces expériences inhumaines mais pourtant les nôtres, mais je crois que l’ignoble laborantin (qui n’est pas humain) va devoir très bientôt abandonner ses expériences funestes, malgré tout le respect que l’on devrait porter au professeur Laborit. Je dirais que le pire dans l’histoire, c’est le rat. En effet, si nous avons connu nous, humains la matrice, le rat, et nombre de ses congénères auront connu bien pire : à savoir une expérience de la matrice Dans la matrice… Une autre morale de l’histoire pourrait être : cessons d’oppresser le monde animal et les souffrances de l’homme s’apaiseront également ! Nous sommes Un !
Référence : http://www.santenatureinnovation.com/
J’adore le professeur Laborit, que j’ai connu en regardant un film de Resnais absolument inoubliable « Mon oncle d’amérique », qui est devenu un de mes films de chevet. Je laisse ici le lien pour ceux & celles qui ne connaissent pas, le film, même vieux, n’en reste pas moins d’actualité & a le mérite de nous en apprendre sur nous-mêmes. Une perle à ne surtout pas rater : https://www.youtube.com/watch?v=FQcC-VB_W-s ;)
Bonjour,
Ce n’est pas la matrice qui est mauvaise, en fait la matrice n’est ni bonne, ni mauvaise.
L’approche que la plupart ont de la matrice, n’est, ni bonne ni mauvaise non plus, par contre elle est, s’est indéniable, totalement incomprise pour ce qu’elle est.
La matrice n’est responsable de quoi que se soit, ce sont uniquement nos agissements à l’intérieur de celle-ci, du à notre ignorance de ce qu’elle est véritablement, puis en cascade de ce que nous sommes vis à vis d’elle, qui nous place dans un espace ignorant plutôt qu’éveillé.
Bien à vous.
Thierry Poget